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dé(bloguer) à nice

18 avril 2007

drôle de météo

Devant un magasin qui brade des dizaines de skis, je me souviens avoir entendu, par un jour de neige sur l'autoroute, cette blague à la radio : " Un type en voiture entend une alerte météo qui annonce de fortes pluies alors qu'au même moment c'est de la merde qui tombe du ciel. Quels abrutis ces gens de la météo, se dit le type en voiture, ils ne savent même pas faire la différence entre la pluie et la merde."

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11 avril 2007

11 avril 2007

3 avril 2007

31 janvier 2007

tract

rien

Au coin d'une rue, suite au travaux du tram, découvert un tract diffusé par un syndicat reprenant un ancien article de Charlie-Hebdo.

RÉFORME DE L’ÉTAT

Renaud Dutreil se lâche : « Le problème que nous avons, c’est que les gens sont contents des services publics ». Devant les ultralibéraux de la Fondation Concorde, le ministre de la Réforme de l’État s’est lâché et a dit tout le bien qu’il pense des fonctionnaires.

Le restaurant Pépita, situé à proximité des Champs-Élysées, était rempli, mercredi 20 octobre 2004, d’une soixantaine de costumes-cravates à la mine cireuse, venus assister à un petit déjeuner-débat avec Renaud Dutreil, ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État. Cette conférence était organi­sée par la Fondation Concorde, think tank ultra­libéral proche de Jacques Chirac. Florilège des déclarations du ministre, sur le thème de prédilection de la droite :

  « Comment insuffler le changement ».

  « Les retraités de la fonction publique ne rendent plus de services à la nation. Ces gens-là sont inutiles, mais continuent de peser très lourdement. La pension d’un retraité, c’est presque 75% du coût d’un fonctionnaire présent. Il faudra résoudre ce problème. »

  « À l’heure actuelle, nous sommes un peu méchants avec les fonctionnaires. Leur pouvoir d’achat a perdu 4,5% depuis 2000. »

  « Comme tous les hommes politiques de droite, j’étais impressionné par l’adversaire. Mais je pense que nous surestimions considérablement cette force de résistance. Ce qui compte en France, c’est la psychologie, débloquer tous ces verrous psychologiques. »

  « Le grand problème de l’État, c’est la rigidité de sa main-d’œuvre. Pour faire passer un fonctionnaire du premier au deuxième étage de la place Beauvau, il faut un an. Non pas à cause de l’escalier [rires dans la salle], mais des corps. Il y a 1400 corps. 900 corps vivants, 500 corps morts [rires], comme par exemple l’administration des télécoms. Je vais les remplacer par cinq filières professionnelles, qui permettront la mobilité des ressources humaines : éducation, administration générale, économie et finances, sécurité sanitaire et sociale. Si on ne fait pas ça, la réforme de l’État est impossible. Parce que les corps abritent les emplois inutiles. »
  « C’est sur l’Éducation nationale que doit peser l’effort principal de réduction des effectifs de la fonction publique. Sur le 1,2 million de fonctionnaires de l’Éducation nationale, 800 000 sont des enseignants.

Licencier dans les back office de l’Éducation nationale, c’est facile, on sait comment faire, avec Éric Woerth [secrétaire d’État à la Réforme de l’État] on prend un cabinet de conseil et on change les process de travail, on supprime quelques missions. Mais pour les enseignants, c’est plus délicat. Il faudra faire un grand audit. »

  « Le problème que nous avons en France, c’est que les gens sont contents des services publics. L’hôpital fonctionne bien, l’école fonctionne bien, la police fonctionne bien. Alors il faut tenir un discours, expliquer que nous sommes à deux doigts d’une crise majeure

  c’est ce que fait très bien Michel Camdessus -,

mais sans paniquer les gens, car à ce moment-là ils se recroquevillent comme des tortues.

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31 janvier 2007

nouvelles du front

"C'est pourtant pas la guerre" de Maryline Desbiolles, éditions du Seuil.

31 janvier 2007

la vitesse du con

P1010020

31 janvier 2007

quiz nice

certains commerçants sont très astucieux : pour attirer l'attention du chaland, celui-ci a fait installer par les services de la municipalité ce palmier juste devant sa boutique ; de la sorte le piéton lorsqu'il contourne le bac pour continuer son chemin, doit obligatoirement jeter un oeil à la devanture de la boutique. Brrrr !!!! être aussi malin ça décoiffe !!!!

7 janvier 2007

6 janvier 2007

Nice-ciné

Au Mercury on rit on rit à la vie tourmentée de M.Y., dit la bonimenteuse en suçant une dragée à la menthe entre ses doigts.

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